Conférence de Gérard Gengembre

Puissance et perte de l’énergie dans La Peau de chagrin

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Durée 54 min. 04 sec.

Échange avec Gérard Gengembre

Question 1 - Vous avez rappelé l’importance de Rabelais dans la pensée balzacienne. Il est de fait très présent dans le roman. Est-ce important d’insister sur cette dimension rabelaisienne dans le roman avec les élèves ? Rabelais étant du reste possiblement au programme, dans quelle mesure faire un lien entre les deux objets d’étude ?

Question 2 - Quel lien pouvez-vous faire entre l’énergie vitale et la création artistique ?

Question 3 - Ne pourrait-on dire que Balzac se met en abîme dans son roman ?

Question 4 - Au risque d’être un peu scolaire, où réside la création dans l’œuvre, étant donné qu’il n’y a pas en soi de figure de créateur au sens artistique du terme, sinon la transposition indirecte de Balzac lui-même ? Peut-on considérer les personnages qui réussissent dans cette société comme des créatures d’eux-mêmes ? De fait Foedora aurait pu, par un élan créateur, réussir à advenir et à « tenir ». Est-ce que l’élan amoureux de Pauline au sens de création de soi, est-ce que la débauche pensée comme un système politique, est-ce que tout cela, ce sont des formes de création, ou est-ce aller trop loin ?

Question 5 - En évoquant les composantes de l’énergie, peut-on revenir, rapidement sur les allégories de Aquilina et Euphrasie ?

Ateliers

Atelier 1 – Julie Fernandez

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Annexe : extraits choisis

Atelier 2 – Samy Plaisance

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