Programmes de lycée - Construire la culture littéraire des élèves

, par BERNOLLE Marie-Anne, Chargée de mission pour l’Inspection de Lettres

Dans les nouveaux programmes de lettres à mettre en œuvre à la rentrée 2019, la construction d’une culture littéraire occupe une place essentielle. Nous vous renvoyons au préambule repris dans le document ci-dessous ; y sont surlignées toutes les notations qui reprennent l’idée de construction d’une culture [1].

Préambule - Programme de français de lycée

Le professeur de français en lycée se voit chargé de construire et de faire construire à ses élèves une culture littéraire.
Pas entièrement nouveau, direz-vous ? Certes. Mais peut-être pas affirmé et assumé comme tel depuis fort longtemps, même si des amendements antérieurs pouvaient être analysés comme l’amorce du retour d’une approche historicisée de la littérature après des années, des décennies dirions-nous, de logique thématique et/ou générique.
Cette construction d’une culture s’inscrit dans une double logique, collective (« construire une culture littéraire commune ») et individuelle (« la constitution d’une culture personnelle » dans « la perspective de formation de la personne et du citoyen »). Le professeur de français reste ce passeur d’une culture patrimoniale héritée que les individus d’une société donnée ont en partage. Et c’est participer à l’éducation de l’individu et du citoyen que de faire en sorte que les lycéens puissent s’en emparer et la faire leur.
C’est là que les choses changent et que l’esprit du temps laisse son empreinte sur les recommandations et prescriptions nouvelles.
Il ne s’agit plus tant de transmettre ̶ ce qui installe le couple professeur/élève dans un rapport vertical et une logique émetteur/récepteur qui ne sont plus à l’ordre du jour ̶ que de « construire », faire construire, co-construire. Il faut donc penser et mettre en œuvre tout ce qui peut aider les élèves à s’approprier cette culture littéraire et la faire leur. Car s’il s’agit de former des lycéens pour qu’ils aient en partage une culture commune, il relève aussi, à parts égales, de la mission du professeur de français d’accompagner chaque élève, en tant qu’individualité, dans la construction de sa culture personnelle, dans sa progression et son enrichissement.

Quelle culture littéraire ?

Lire pour se cultiver ; lire pour le plaisir

Les programmes mettent en exergue le fait que lire est le moyen clef pour accéder à la culture et se construire une culture.
Il faut donc faire lire, vraiment ; beaucoup - « une progression ordonnée, prenant appui sur des lectures nombreuses ». Textes longs et textes courts. Textes patrimoniaux - « textes majeurs de notre patrimoine littéraire » et textes plus inattendus. Lire de la littérature ; mais lire la presse aussi, la critique, des écrits documentaires. Lire des textes, mais aussi l’image. Lire ; sur papier ou sur support numérique. Lire la littérature, mais l’écouter aussi, et la dire, pour que d’autres l’entendent et l’écoutent.
Car, s’il y a un mot à retenir dans ces programmes, c’est celui de plaisir : il s’agit en seconde de susciter le « plaisir de la littérature » et en première d’approfondir et de développer le « goût de la littérature ».

Quels textes ?

Que placer au rang de la littérature ? Chacun s’en fait une représentation, plus ou moins patrimoniale, plus ou moins classique, plus ou moins stricte.
Or, revenons à la définition de « littérature » sur le site du CNRTL. La littérature peut se définir comme l’« ensemble des productions intellectuelles qui se lisent, qui s’écoutent » dans lesquelles on fait un « usage esthétique du langage écrit ».
À cela s’ajoutent littérature critique et littérature documentaire dont les textes ont pour fonction d’entrer en résonance avec les textes littéraires et d’en éclairer la lecture.
« La littérature n’est rien d’autre que l’ensemble des textes n’ayant pas de visée pratique immédiate mise en circulation dans l’espace public » [2]
L’objectif est de proposer aux élèves de seconde - et de première selon des modalités différentes dictées par les contraintes du programme national - « un tableau varié de la littérature française et francophone », « complété, notamment pour les lectures cursives, des œuvres appartenant aux littératures étrangères, du passé lointain - en particulier les textes de l’Antiquité - jusqu’à la période moderne et contemporaine, en s’appuyant sur des traductions de qualité et reconnues ».
Le professeur joue sur le choix des œuvres intégrales et des textes des parcours ou parcours associés, sur les documents écrits des prolongements artistiques et culturels et/ou des groupements de textes complémentaires, sur les propositions de lectures cursives également, pour proposer à ses élèves au cours de l’année un parcours de lectures riches et variées qui constituent dans leur dialogue un panorama littéraire structuré et cohérent.

Ouvrir la culture littéraire

Le préambule des programmes [3] donne à l’enseignement du français au lycée, entre autres finalités, pour objectif de « faire lire les élèves » et de « leur permettre de comprendre et d’apprécier les œuvres, de manière à construire une culture littéraire commune, ouverte sur les autres arts, sur les différents champs du savoir et sur la société ».
Dans cette perspective, tout particulièrement, la proposition de prolongements artistiques et culturels permet de faire « dialoguer textes littéraires, œuvres relevant des autres arts et éclairages critiques et documentaires ».
Les programmes réaffirment la nécessité de penser l’enseignement du français en « relation étroite avec les autres enseignements linguistiques, artistiques et culturels ».

Schéma - Une culture littéraire ouverte

Sur les autres arts

Le schéma ci-dessus permet d’embrasser d’un seul coup d’œil l’étendue des possibles. Faire des liens, instaurer des ponts entre les arts, participe à la construction d’une culture structurée ; diversifier les types d’arts convoqués conditionne l’éventualité de toucher tous les élèves et de les faire entrer en littérature.
Nous vous renvoyons, sur ce site, à l’article « Prolongements culturels et artistiques - Exploiter les ressources numériques » qui propose une présentation et le lien vers des portails de ressources majeurs.
Dans la rubrique « Histoire littéraire et culturelle », vous trouverez pour chaque période une sélection de liens.
Ainsi, vous seront proposés, entre autres :

  • pour le XVIe siècle, les expositions virtuelles de la bnf « Dessins de la Renaissance » ou « François 1er ».
  • pour le XVIIe l’exposition virtuelle de la bnf « Rembrandt Graveur » ou le site du Château de Versailles ...
    Il est entendu que le théâtre occupe en la matière une place à part puisqu’il relève en soi, non strictement de la littérature, mais des arts du spectacle. Aussi les professeurs sont-ils invités à « prendre en compte les questions de représentation et de mise en scène », à « proposer l’étude d’éléments constitutifs d’une mise en scène », à éclairer le corpus par « une approche artistique et culturelle d’un genre, d’une esthétique, d’un lieu de représentation ».

Sur les différents champs du savoir

Les programmes invitent à faire des liens entre les disciplines et donnent des pistes, non exhaustives ni contraignantes, selon les niveaux et les objets d’étude. Ils encouragent aux travaux interdisciplinaires.

Pour la poésie, le roman et le récit, ainsi que le théâtre, le professeur est invité à établir plus particulièrement des liens avec les programmes d’histoire des arts, ceux des enseignements artistiques et ceux d’histoire, et vivement encouragé à se rapprocher du professeur documentaliste pour ce faire.

Quant à la littérature d’idées, à laquelle s’ajoute la presse pour la 2nde, - du XIXe siècle au XXIe siècle en 2nde et du XVIe siècle au XVIIIe siècle en 1ère - l’objet d’étude ouvre par définition sur l’histoire des idées. L’objectif, en continuité avec l’éducation aux médias et à l’information centrée sur les usages contemporains faite au collège, est d’ouvrir « une perspective littéraire et historique sur les caractéristiques de la littérature d’idées et sur le développement des médias de masse ».
Les liens sont en priorité à faire avec les programmes d’enseignement moral et civique et avec l’éducation aux médias et à l’information, en concertation avec les professeurs documentalistes.
Il est entendu que rien n’est interdit et que, selon les niveaux, les classes et les spécialités, des ponts peuvent être faits avec tous les champs du savoir. Les programmes de 1ère, dans une logique de complexification et d’approfondissement par rapport à la seconde, engagent les professeurs à « mettre en évidence les liens qui se nouent entre les idées, les formes et le contexte culturel, idéologique et social dans lequel elles naissent ». Peuvent ainsi être embrassés, au gré des œuvres et des textes et selon la logique retenue, tous « les champs culturels et de réflexion : littéraire, philosophique, politique, social, esthétique, éthique, scientifique, religieux, etc. »

Sur la société

Appeler de ses vœux une culture ouverte sur la société invite à penser les textes d’hier et d’aujourd’hui en lien avec le présent. Il s’agit de penser et repenser les pratiques d’enseignement pour inscrire les élèves dans une démarche d’actualisation, à quelque échelle et dans quelque domaine que ce soit. Imaginer des dispositifs qui s’inscrivent dans une réalité sociale et ancrent de ce fait les activités des élèves dans le réel tend à favoriser leur engagement et leur motivation. Le bénéfice de la démarche de projet qui se dessine en filigrane consiste à inscrire les élèves dans un processus d’objectivation de leur propre travail ; ils ne font plus un exercice - dont l’apparente gratuité est préjudiciable à beaucoup - mais réalisent une tâche, participent à un projet, produisent un objet qui fait sens.
En tissant des liens entre hier et aujourd’hui, entre les écrits littéraires et la société -la société qui a vu naître ces écrits et la société dans laquelle s’inscrivent les lecteurs-récepteurs d’aujourd’hui, le professeur de français contribue à ouvrir les élèves sur le monde ; il montre comment la littérature en soi est déjà une expérience du monde, qu’elle permet de penser le monde qui nous entoure et de se penser dans le monde.

« À travers la fréquentation des œuvres et des textes de la littérature, [la discipline des lettres] contribue également à enrichir l’expérience des élèves, leur approche des questions éthiques, leur connaissance du monde et d’autrui. Elle prend ainsi sa place au carrefour des arts et des humanités. »

Construire des connaissances solides

C’est écrit dans les programmes en toutes lettres : « Cela passe par l’acquisition de connaissances solides dans la discipline, notamment dans les domaines de l’analyse littéraire et de l’histoire littéraire ».
Deux domaines sont ainsi pointés comme consubstantiels à la culture littéraire : l’analyse littéraire et l’histoire littéraire.

L’analyse littéraire

La pratique de l’analyse littéraire suppose d’une part des savoirs :

  • linguistiques et stylistiques, d’où l’affirmation de la nécessité d’« un enseignement continué de la langue » au lycée ;
  • relatifs aux formes et aux genres également, d’où la structuration du programme en objets d’étude génériques et dans une logique chronologique. [4] Cela permet d’aborder les formes dans leur évolution, leur parenté.

d’autre part des savoir-faire :

  • de lecture, de compréhension, d’interprétation
  • de capacité de jugement et d’esprit critique développés par les autres items des programmes.

L’histoire littéraire

Les programmes de 2019 érigent donc l’histoire littéraire en savoir à faire acquérir par les élèves, mais une histoire littéraire repensée. Alain Vaillant, dans sa conférence donnée à l’Espé de Genevilliers [5], dans le cadre de la formation continue des professeurs de lettres de l’académie de Versailles, affirmait que l’enseignement nouveau de l’histoire littéraire ressortissait à un combat et que cette dernière restait à écrire.
Qu’est-ce que faire de l’histoire littéraire ?

  • 1- C’est faire de l’histoire, rappelle Alain Vaillant ; les professeurs de français ont la responsabilité de « faire comprendre le fait littéraire d’un point de vue historique ». Il s’agit de penser le fait littéraire dans son historicité en « périodisant », en « rendant sensible à des césures, des événements, des ruptures », en ayant pleine conscience que « périodiser, c’est déjà interpréter » et qu’« en périodisant, le professeur projette sa vision de l’histoire littéraire ».
    Faire périodiser par les élèves, ce serait donc aussi les inviter à se construire une vision de l’histoire littéraire.
  • 2- Pour enseigner l’histoire littéraire, la démarche première consiste à dessiner et à faire dessiner aux élèves une chronologie ; cela suppose de « faire des choix » pour élaborer avec les élèves un savoir, certes simplifié mais non falsifié. Alain Vaillant suggère de s’appuyer en tout premier lieu sur la chronologie politique - parce que « l’histoire politique a des effets littéraires immédiats », mais de ne pas s’y limiter, parce que « l’histoire littéraire est faite d’un entrelacement d’histoires différentes », que c’est un « empilage de chronologies, chronologies économique, politique, culturelle ».
  • 3- Faire de l’histoire littéraire suppose aussi de comprendre « l’histoire de la communication littéraire ». A travers les siècles, la littérature a connu des temps différents : le temps de la parole où la littérature relevait de l’oralité, le temps du livre, le temps de la presse, de la culture médiatique, le temps du cinéma, le temps du multimédia ...
    Pour élaborer une histoire littéraire, il faut donc « faire attention aux différents modes de communication, mais aussi à l’interaction entre les différents modes », de façon à « comprendre tout ce qu’implique cette transformation de la communication » sur le fait littéraire.
  • 4- Faire de l’histoire littéraire, c’est enfin faire ce qu’Alain Vaillant appelle de la « poétique historique ». Il s’agit d’« expliquer comment et pourquoi se transforme la manière d’écrire des œuvres », « expliquer concrètement comment les formes évoluent ».
    En somme, faire de l’histoire littéraire, c’est faire comprendre aux élèves, de l’intérieur, comment la littérature se pense au moment où elle s’écrit et pourquoi.

Avec quels impératifs ?

Structurer

Les programmes insistent sur le fait que cette culture en construction demande à être structurée ce qui passe par la nécessité de :

  • mettre en place des repères historiques,
  • élaborer des repères génériques,
  • replacer le tout dans son contexte historique, culturel et artistique.

Il est ainsi recommandé de replacer les pratiques et les savoirs littéraires dans une perspective historique d’où l’importance de l’histoire littéraire.

Faire s’approprier

Le deuxième impératif est de « favoriser l’appropriation de la culture littéraire par les élèves ».
Cela suppose en premier lieu que « soit favorisée une pratique intensive de toutes les formes, scolaires et personnelles, de la lecture littéraire ». L’appropriation des œuvres passe par la lecture de celles-ci, une lecture qui soit effective et personnelle. Faire s’approprier une culture, c’est donc d’abord faire lire, insuffler le plaisir de lire.

C’est de l’interaction pensée et réfléchie entre les activités fondamentales disciplinaires - « faire réfléchir, lire, écrire et parler les élèves » - que dépend la construction effective d’« une culture littéraire partagée et assimilée personnellement par chaque élève ». L’appropriation des œuvres, des idées, de la culture dépend de pratiques et habitudes au nombre desquelles on accordera une importance première aux écrits d’appropriation et au carnet de lecture.

  • Les écrits d’appropriation doivent être pratiqués « sur les lectures cursives et les lectures personnelles des élèves, mais aussi sur les œuvres et textes étudiés en classe ».
    Si l’écriture d’invention a disparu comme exercice de certification à l’E.A.F, sa dimension formatrice en ce qu’elle favorise et facilite l’appropriation est réaffirmée par les textes. Le professeur est encouragé à faire pratiquer toutes sortes d’exercices d’écriture dès lors qu’ils favorisent l’appropriation des œuvres et de la culture.
  • Le carnet de lecture est par excellence le lieu de la parole de l’élève, lieu de liberté d’expression. On ne peut occulter néanmoins qu’il participe de la sphère scolaire et doit obéir à certaines règles. Au professeur, avec ses élèves, de fixer le cadre. À lui de définir les conditions et modalités du droit de regard du professeur et la place de ce carnet de lecture au sein de la classe, en tant qu’outil pédagogique.

Agir à trois niveaux

Pour aider les élèves à construire leur culture, il faut tout à la fois leur « permettre de comprendre et d’apprécier les œuvres ». Les programmes soulignent ainsi que l’appropriation des œuvres et la construction d’une culture personnelle se jouent à plusieurs niveaux.

Niveau intellectuel

Conduits par leur professeur, les élèves sont invités à « comprendre les œuvres ». Ils doivent commencer par comprendre ce qu’elles disent littéralement et globalement. Ils doivent aussi en analyser le fonctionnement, la stratégie - narrative, argumentative. Ils sont conduits à se demander quels choix ont présidé à sa création et pourquoi, quelles en sont les finalités, comment l’œuvre constitue, dans le contexte qui l’a vu naître, un fait littéraire, historique, de communication...
L’approche des œuvres littéraires relève de ce fait de la démarche intellectuelle.
La lecture, la compréhension et l’interprétation des œuvres participent à la formation de l’esprit et contribuent à construire et développer, en chaque élève, les catégories de pensée.

Niveau de la pratique

Les programmes soulignent qu’acquérir des capacités à argumenter passe aussi par l’observation : « analyser les stratégies argumentatives des discours lus ou entendus ». Or on peut étendre ce raisonnement à l’ensemble des savoirs littéraires.
C’est en observant en situation les savoir-faire des écrivains et en les mettant en pratique que les élèves peuvent mieux se les approprier. L’appropriation d’une culture littéraire passe par « les pratiques de la parole, de l’écriture et de la lecture qui sont au cœur des humanités ».
Les programmes insistent ainsi sur l’importance d’une approche pragmatique reposant notamment sur des pratiques telles que les écrits d’appropriation et le carnet de lecture.

Niveau de la sensibilité

Il s’agit aussi, surtout peut-être, de faire aimer la littérature, de faire apprécier les œuvres. Le rapport aux œuvres, à la littérature, doit relever du plaisir pour être vivant et intimement vécu. Il faut donc intégrer aux démarches de travail proposées aux élèves les dimensions de l’émotion, de la sensibilité.

D’une part, cela relève de l’individuel et de l’intime. Il est nécessaire de penser des dispositifs qui favorisent le rapport individuel de chacun à l’œuvre, au texte. Dans une démarche d’ensemble nécessairement collective dans le cadre de l’enseignement scolaire, une place doit être faite à l’expression de la sensibilité et des sentiments personnels.
Une des voies préconisées est de « faire droit à la créativité des élèves dans l’approche des formes, des œuvres et des textes ». Créativité dans l’écriture et à l’oral, créativité artistique, au gré des projets et des dispositifs.

On notera d’autre part l’importance de l’expérience collective dans l’expression même de la sensibilité et des sentiments personnels. Partager ses sensations, échanger sur ses sentiments, confronter ses réactions conduit l’élève à nourrir sa subjectivité de celles des autres pour atteindre, en quelque sorte, à une subjectivité transcendée - parce qu’objectivée et de ce fait distanciée.

L’objectif est de « cultiver le goût des élèves », de « former leur sens esthétique », « de développer leur imagination ».
L’essentiel réside in fine dans la capacité à accompagner les élèves dans la construction de ce musée imaginaire personnel sur lequel l’individu s’appuie pour penser, inventer, innover.

Notes

[1« Préambule », Annexe 1 et 2, présentant le programme de français, respectivement de seconde générale et technologique et de première des voies générale et technologique

[2Alain Vaillant. Définition donnée dans le cadre de la conférence du Rendez-vous des Lettres, le 21 mars 2019, Espé de Genevilliers. Consulter le compte-rendu de la journée.

[4de la seconde à la première (ascendante ou descendante en l’occurrence) ; mais aussi dans les parcours - parcours de 2nde et parcours associés en 1ère, qui doivent être organisés de façon chronologique.

Partager

Imprimer cette page (impression du contenu de la page)