Utiliser le Grand Robert pour une recherche sur un thème : Charlemagne

, par JULIEN Jacques, Collège Guy-Moquet, Gennevilliers

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« Charlemagne est l’antithèse de Néron. » L. VEUILLOT, in P. LAROUSSE (1866), art. Antithèse.

« Il portait l’arbalestre au bon roi Charlemagne (...) » Mathurin RÉGNIER, Satires, 10.

« Charlemagne exerça dans Rome même l’autorité souveraine en qualité de patrice. » BOSSUET, Hist., I, 11.

« Charlemagne avait tâché de bannir absolument de Paris les femmes publiques ; il avait ordonné qu’elles seraient condamnées au fouet, et que ceux qui les auraient logées, ou chez qui on les aurait trouvées, les porteraient sur leur cou jusqu’au lieu de l’exécution (...) » SAINT-FOIX, Essai d’une hist. sur Paris, OE., t. III, p. 72.

« Charlemagne, le sage empereur »à la barbe fleurie« de la Chanson de Roland, vit dans nos mémoires autant que le terrible soldat à longues moustaches qui fit massacrer dix mille saxons (...) » DANIEL-ROPS, le Peuple de la Bible, III, I, p. 198.

« Sa barbe (de Charlemagne) est blanche, et tout fleuri son chef. » J. BÉDIER, la Chanson de Roland, VIII, p. 11.

« Le souverain lui-même (Charlemagne), en échange de services civils et militaires, concéda, à titre révocable, à titre de bienfait (bénéfice) des portions de son domaine (...) » J. BAINVILLE, Hist. de France, III (cf. Bénéfice, cit. 6).

« Du temps de Charlemagne, on était obligé, sous de grandes peines, de se rendre à la convocation pour quelque guerre que ce fût. » MONTESQUIEU, l’Esprit des lois, XXXI, 27.

« L’éclat que le nom de Charlemagne a laissé dans l’histoire (...) » J. BAINVILLE, Hist. de France, III, p. 33.

« Il (Charlemagne) institua des fonctionnaires, des ducs et des comtes ; ces mots n’étaient pas des titres de noblesse mais des titres de fonctions, comme celui de préfet. » FUSTEL DE COULANGES, Leçons à l’Impératrice..., p. 154.

« Depuis la fin de l’Empire romain, ou, mieux, depuis la dislocation de l’Empire de Charlemagne, l’Europe occidentale nous apparaît divisée en nations, dont quelques-unes, à certaines époques, ont cherché à exercer une hégémonie sur les autres, sans jamais y réussir d’une manière durable. » RENAN, Qu’est-ce qu’une nation ?, I, OE. compl., t. I, p. 888.

« Surtout, sa grande idée (de Charlemagne) était d’en finir avec la Germanie, de dompter et de civiliser ces barbares, de leur imposer la paix romaine. » J. BAINVILLE, Hist. de France, III.

« Charlemagne, comme les rois des Wisigoths, donna aux évêques un pouvoir inquisitorial, en leur attribuant le droit de poursuivre les crimes dans l’enceinte de leur diocèse. » MICHELET, Hist. de France, II, II.

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